Non, il n’y a pas de « terres rares » dans toutes les cellules photovoltaïques
Reste la question, souvent posée, des « terres rares » qui entreraient dans la composition des capteurs. « Faux !« , répond Greenpeace, qui précise que la grande majorité (90 %) des panneaux photovoltaïques n’en contient pas. Ils seraient principalement constitués de silicium cristallin provenant du sable ou du gypse (donc totalement recyclable) et de métaux « classiques », tels le cuivre, l’aluminium ou l’argent, dont le prix rend également intéressant la collecte et le réemploi. Certains modèles comporteraient également du plastique.